Lanmou

Le sport régulier permet d'avoir un équilibre mental

J'ai réussi à progressé à la guitare en à peine un mois alors que ça va faire un an que je l'ai. Le temps défile comme un rouleau compresseur... Je suis contente de mes progrès et fière de voir naître des ampoules au bout de mes doigts, stigmates de mes efforts. J'ai en partie réussi grâce au cours débutant de myguitare.com qui est gratuit. Mais pour apprendre à jouer d'un instrument il faut beaucoup de patience et de temps... alors courage mes amis! J'ai vraiment bien profité de mon mois de juillet. J'aurais aimé prendre de l'avance sur mes lectures mais je n'ai reçu que (...)

Ni le passé ni le futur ne doivent entraver votre bonheur actuel

Mon journal aurait dû s'intituler journal d'une angoissée dépressive voire bipolaire. C'est perturbant de se trouver face à ses propres parts d'ombre, de se rendre compte que certaines facette de nous-même nous sont étrangères. Il m'arrive souvent de ne pas me comprendre et je tombe vite dans l’alexithymie à force d'essayer de le faire. Hier j'ai fait une crise d'angoisse et je m'en suis prise à Patrick ( ce n'est pas son vrai prénom, c'est juste une référence à Patrick dans Bob l'éponge hihihi), mon copain. Et plus j'essayais de mettre des mots sur ce que je ressentais, plus (...)

La haine va à l'encontre de mes principes

Les gens ont tendance à croire que la compassion consiste à se mettre à la place de l'autre afin de le comprendre. Mais cela me paraît absurde. On ne peut jamais vraiment se mettre à la place de l'autre. Ni physiquement ni mentalement. Chaque histoire est différente, certes il est vrai que chez l'Homme se regroupe bon nombre de similitudes mais ce n'est pas ce à quoi je pense ce soir. Au fil du temps j'ai compris que me mettre à la place de l'autre en me disant " si j'étais lui", ce n'était pas un acte de compassion. Car penser ainsi peut nous pousser à la haine. Or la haine va à (...)

Moi

Est-ce à cause de l'émergence de la psychanalyse si les gens sont si préoccupés par leur être ? Non pas que ce soit une nouveauté ni un défaut: la première personne qu'on connaît et dont on veut le bien c'est soi-même et c'est tout à fait légitime. Ce qui est plus inquiétant c'est l'instrumentalisation qu'on fait de notre souffrance. Les gens se plaignent beaucoup, moi y compris. Il suffit de passer quelques minutes sur les réseaux sociaux pour constater ça: nous avons tendance à mendier de l'attention par exagération de la souffrance. C'est ce que j'appelle la mendicité (...)